Depuis le début de la crise, j’ai fait preuve de prudence face aux déclarations des dirigeants européens qui, la main sur le cœur, n’ont eu de cesse d’affirmer qu’ils feraient tout ce qu’il faut pour juguler crise, au besoin en remettant en cause les sacro-saints dogmes du Pacte de Stabilité.
Prudence car, à y regarder de plus près, on voyait bien que la Commission de Bruxelles, qui se montrait plus discrète que résignée, lançait un autre son de cloche, acceptant provisoirement, à la manière d’un célèbre personnage de Molière, de fermer les yeux sur « ces déficits qu’elle ne saurait voir… »
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