Le sommet du G20 aura au moins deux mérites.
Celui tout d’abord de révéler le caractère multipolaire du monde d’aujourd’hui. La parenthèse, ouverte avec la chute du mur de Berlin en 1989 et caractérisée par l’hégémonie de la super puissance américaine, se referme accouchant d’équilibres instables notamment entre les Etats-Unis et la Chine. Le XXIème siècle sera sûrement celui des grands ensembles régionaux. Dans cette perspective on comprend le contresens historique du retour de la France dans le commandement militaire intégré de l’OTAN.
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