Malgré l’euphorie née de l’élection de Barack Obama, il a été dit et répété que le nouvel hôte de la Maison blanche n’en défendrait pas moins d’abord les intérêts de son pays. A juste titre…
Hier, dans la droite ligne de W. Bush et de ses prédécesseurs, le président Obama a tout naturellement livré un plaidoyer de plus pour l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne qui, en l’état des traités, ne peut que provoquer la paralysie voire l’explosion de cette dernière.
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